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 Lucille Kaliandhe

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Lucille

Lucille


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MessageSujet: Lucille Kaliandhe   Lucille Kaliandhe Icon_minitimeLun 17 Fév - 4:17

Prénom : Lucille
Nom (optionnel) : Kaliandhe
Sexe : Féminin
Race : Loup-Garou depuis ses dix-huit ans
Age : 21

Profession : Guérisseuse actuellement, étudie et expérimente en vue de devenir médecin (privilégie l'expérimentation).


Lucille Kaliandhe Bande-longue-pr-sentation-3c31f99

Apparence physique

Lucille est assez grande, 1,72m, de corpulence normale, fort féminine. Ses longs cheveux automnes, assombrissent l'éclat doré de ses yeux marrons. Elle ne supporte pas les robes et donc, ne porte que des pantalons, se foutant royalement de l'image qu'elle donne
N'appréciant pas le contact (et pour éviter les mauvaises surprises en argent ou en germes), elle porte continuellement des gants.


Lucille Kaliandhe Bande-longue-pr-sentation-3c31f99

Caractère et défauts

Elle est obstinée par espoir, solitaire par nécessité. Lucille est intelligente et la seule chose qui la freine dans ses projets est le manque de formation, chose à laquelle elle remédie en lisant (très lentement) des livres traitants, principalement, de soins divers. Ne voyant que son objectif, elle s'est déconnectée du malheur de ses patients, les voyants comme des porte-monnaies pour certains, ou comme des sujets d'expérimentation pour les autres. Elle veut trouver un remède contre le loup qui l'habite et est prête à tout pour y arriver.


Lucille Kaliandhe Bande-longue-pr-sentation-3c31f99

Histoire


Ah, la parfumerie ! C'est tout un monde, vous savez ? C'est le monde des amours passés qui, le matin encore, imprègnent l'oreiller. Le monde de la séduction, qu'elle soit le début d'une grande romance ou qu'elle soit la promesse d'un soir. Le monde des souvenirs, aussi... Il n'est pas de retour aussi puissant qu'un souvenir olfactif. Le fumet d'un plat qui s'échappe d'une chaumière, l'odeur de la pluie s'évaporant sur une canalisation de vapeur, des fleurs autrefois posées à un chevet, désormais vide, et pour finir, l'océan... La parfumerie offre des contrées lointaines inexplorées à ceux qui ne voyagent pas, elle offre l'immortalité d'une présence à ceux qui sont seuls.

Grant Kaliandhe tenait une petite boutique, mais quelle boutique ! Imaginez les hautes armoires couvertes de fioles en tout genre, que l'on rencontre chez les apothicaires. Vous les voyez ? Imaginez maintenant, que chacune de ces fioles possède une couleur, une forme et une taille différente des autres. Ajoutez le soleil qui passe par les fenêtres, dont les rayons se brisent sur les verres, transformant la pièce en bois en un immense vitrail aux couleurs chatoyantes. Vous pouvez voir, derrière le comptoir en cuivre, un homme grand, sec, souriant, Grant. D'un geste de la main, il vous invite à vous asseoir sur un des trois fauteuils à motifs floraux. Une jeune fille, dont les cheveux sont assortis au comptoir, vous demande si vous voulez du thé. La voilà, déjà, qui revient avec un service richement garni. Elle s'efface aussitôt. Vous remarquez une sorte de prospectus sur la petite table, vous le saisissez et vous lisez ces quelques mots sobres : « Atteint d'un mal quelconque ? Demandez Lucille. » Vous vous demandez où est l'intérêt de ce genre d'annonce dans une parfumerie, mais après tout, c'est toujours bon à savoir. Et puis, on est bien, ici, non ? Grant se joint à vous, il vous parle des différentes sortes de bases, telles des émotions. Vous ne pouvez qu'être captivé par cet homme qui vous parle d'âme, de corps tandis que les effluvent enveloppent votre esprit. Vous succombez. Dans quelques minutes, il appellera Lucille afin de vous faire un paquet, ce qui répondra à une de vos questions concernant l'annonce. Elle vous écrira d'une main soigneuse les différentes plantes composant votre achat, ainsi que leur « caractère ». Vous sortirez de la boutique avec la certitude qu'avec ce parfum, plus rien ne vous arrêtera.

Mais derrière ces éclats de lumière, ce comptoir, ces paroles, se cache l'obsession d'un vieil homme. Un vieil homme qui a peur de son odeur. Un vieux loup qui s'imagine qu'on peut le repérer, rien qu'en le reniflant. Et plus les années passent et plus il se conforte dans son idée absurde. Cette défaillance, si on peut l'exprimer ainsi, a largement contribué à la qualité des fragrances, qui a fait connaître la Maison Kaliandhe. Mais ça, vous, client, n'en saurez jamais rien.

-------

Grant regardait sa fille adoptive, accaparée dans le nettoyage de la théière.
Il se revoyait l'acheter, elle devait avoir 3 ans, il avait longuement hésiter avec un garçon deux ans plus vieux, puis s'était dit que plus l'enfant était jeune, plus il serait facile à vivre par la suite. Il ne s'était pas trompé. Lucille était curieuse, intelligente et fort attachée aux personnes qui l'entourent. Elle avait toujours fait de son mieux, afin que son père soit fier d'elle. Oui, parce qu'elle le considérait comme tel, bien qu'elle connaisse la vérité et qu'elle soit au courant de son côté lycan. Le parfumeur n'aimait pas les secrets et puis... il fallait qu'elle soit au courant de tout pour l'aider dans sa quête. A ses 45 ans, soit sept ans après sa rencontre avec la créature de la lune et la phobie qui a suivi cette rencontre, Grant senti que son odorat, bien que plus développé que les autres humains, diminuait. Il avait brûlé son don à coups d’ammoniaque pur, qui était nécessaire à la réalisation de son travail. Il avait donc besoin d'un apprenti. Enfin... besoin d'une personne de confiance, pouvant lui confirmer ou infirmer sa plus grande crainte. Il lui avait donc enseigné la lecture et l'écriture, afin qu'elle puisse l'aider avec sa correspondance, mais méfiant de nature, n'avait jamais voulu lui apprendre à créer un parfum.
Il s'avança vers la jeune fille. Il lui présenta son poignet.

-Que sens-tu, Lucille ?
-Rien, père, seulement le parfum que vous venez d'appliquer.
Le visage masculin se congestionna et une voix remplie de colère éclata dans la petite cuisine.
-Espèce de petite menteuse ! Tu sens bien que l'odeur passe au travers ! Je la sens, moi, avec un odorat qui faiblit ! Tu devrais avoir honte de me mentir juste pour me faire plaisir ! Quelle vipère es-tu ?


Elle ne l'écoutait plus, plongée dans ses pensées. Ces reproches-là, elle les avait entendus toute sa jeunesse. En général, après ça, l'homme pleurait, maudissant la lune, et toute entité ayant permis que ce malheur lui tombe dessus. Et elle était là, pour le réconforter. Elle était toujours là, les soirs de pleine lune à guetter la porte de l'atelier. C'était elle qui lui attachait ses chaînes, préparait les somnifères de leur apothicaire dans des gésiers de poulets, veillait à garder la pièce la plus insonorisée possible. Lucille veillait son père, souhaitant ardemment qu'il trouve enfin ce qu'il cherche.

Elle regarda le soleil. Il était au zénith. Elle se rappela qu'elle devait aller chez le médecin. Non pas qu'elle soit malade, mais pour apprendre en échange de quelques flacons. C'était une idée à elle. Elle l'avait soumise à l'homme, en parlant des bénéfices que cela engendrerait si elle parvenait à se faire une petite clientèle. Grant ne pouvait être contre l'idée que son achat lui rapporte quelques pièces. Elle travaillait plus tard le soir, pour compenser le temps qu'elle perdait à se former. Lucille ne se souciait guère du confort financier de son père, mais elle s'était mise en tête de le soigner. Lorsque vous voyez, presque tous les soirs, une personne qui vous est chère, hurler de douleur, perdre toute humanité au point de vouloir faire de vous, sa fille, son repas, vous ne pouvez pas faire autrement, si ? C'est comme ça qu'elle commença à se former chez le médecin Alguior (homme très coquet, ce qui était facile lorsqu'il s'agissait de le payer). De temps à autre, elle lui empruntait un bouquin, pour rechercher des informations.

Les mois passèrent.

Petit à petit, des personnes venaient à la boutique pour la voir. Il faut dire que le prix de ses consultations était beaucoup plus bas que chez Alguior. Ensuite le bouche-à-oreille fit des miracles et elle commença à avoir ses propres clients, ce qui lui valu l'interdiction à vie de franchir le seuil du médecin. Ça ne la tracassait pas davantage, ayant une belle collection d'ouvrage traitant des soins, sous la main. Elle avait alors 18 ans. Elle se sentait invincible.

Une nuit de décembre, une nuit de pleine lune, elle parcourait un livre traitant des créatures marines, adossée à la porte de l'atelier. Elle entendait son père hurler, ces nuits-là étaient les pires mais malgré tout, elle restait concentrée sur son livre. Il était question d'un poisson vivant dans les profondeurs de l'océan, qui remontait une fois par an, le jour où le soleil n'est pas caché par un seul nuage et suivi de la nuit éclairée par la demoiselle d'argent. On attribuait à ce poisson beaucoup de propriétés en tout genre, mais une attirait particulièrement Lucille : Il pouvait purifier le sang de toute maladie. Le poisson des astres...
Elle n'avait pas encore terminé sa lecture qu'elle entendit entendit le bruit de chaînes qui heurtent le sol. Ça n'était jamais arrivé. Son cœur s’accéléra. Le verrou de l'atelier semblait si fragile tout à coup...

BONG

Elle retint un cri. Il enfonçait la porte.

BONG

Le verrou se déplaça dans le bois. Elle s'appuyait de toutes ses forces, accrochée à l'espoir puéril qu'il abandonnerait. La porte s'ouvrit à la volée, emportant Lucille et ses désillusions qui chutèrent lourdement sur la pierre. Il était là, grand sur ses deux pattes, ses poils gris hérissés, babines retroussées. La bête n'était plus sortie depuis des années et ça lui avait manqué. Elle bondit sur la jeune fille, qui ferma les yeux, libérant les larmes qui n'étaient pas encore sorties.

Arrête...

Lorsqu'elle les ouvrit, elle était dans sa chambre, il faisait jour depuis un bon moment. Elle se redressa rapidement. Elle ne se permettait pas de dormir aussi longtemps. Une douleur lancinante traversa son épaule. Une sorte de bandage grossier l'entourait. Elle l'enleva. Une belle tâche violette parcourait sa clavicule, qui avait décidé de se dédoubler. Elle regarda ses chairs qui n'avaient plus rien d'une épaule. Un autre bandage, lui cintrait la taille. Elle n'eût pas le courage de regarder ce qu'il en était. Se rappelant la nuit, elle se déplaça le plus vite qu'elle put à l'atelier. L'odeur lui donna le tournis. Il ne restait pas une bouteille épargnées, toutes se mélangeaient aux précieux liquides qu'elles contenaient. Elle respirait de petites bouffées par la bouche. Son père était là, à quelques centimètres du sol. Si loin et si près à la fois. Elle se disait que la frontière de la mort ne faisait qu'une quinzaine de centimètres. A côté de lui était déposé, épais, un vide désespérant. La lettre qui aurait pu expliquer son geste brillait par son absence.  Était-ce à cause de ce qu'il lui avait fait ? Avait-il cru la tuer ? Était-ce parce qu'il avait perdu l'espoir de trouver son parfum d'invisibilité olfactive la veille? Était-ce...
Ses questions ne trouveront jamais de réponses. De rage, elle frappa le pendu qui se balança, nonchalant. La douleur la plia. Elle se laissa tomber sur le sol. Elle pleurait. Elle pleurait sur sa vie qui venait de changer à jamais, elle pleurait sur son père qui n'était plus, sur son échec de n'avoir pu le sauver. Mais surtout, elle venait de le sentir, avec ce nouvel odorat non-désiré, et il n'y avait rien de particulier, rien qui puisse indiquer que cet homme n'en était pas tout à fait un. La petite voix moqueuse, qu'elle faisait taire depuis des années, avait raison. Il était fou, enfin, était devenu fou. Cet homme brillant, ce génie des vapeurs, celui qui parlait avec tant d'aisance des âmes parfumées. Fou. Il ne fallait jamais qu'elle le devienne à son tour, il ne fallait pas que la bête lui insuffle  un quelconque délire. Elle la combattrait avant. Elle s'en fit la promesse.

-----

Elle a maintenant 21 ans 4 mois et 17 jours. Elle habite toujours dans la parfumerie qui est devenue son cabinet. La boutique n'a pas changé d'un pouce. Elle ne changera sans doute jamais. Les flacons sont toujours là, vides. Lucille ne supporte plus les odeurs fortes. La remise, par contre, a été réaménagée. Des livres remplacent les concentrés, les appareils de distillations ont une toute autre utilisation, une énorme table de boucher, avec des lanières en cuir, trône au milieu de la pièce. La porte a été réparée et un nouveau verrou fixé à l'intérieur. L'agencement des chaînes aussi est différente.
Le changement de la maison Kaliandhe fait parfaitement écho à la « nouvelle » Lucille. De l'extérieur c'est toujours la même jeune fille serviable, quoi que moins effacée, dont la majorité des patients se compose de vieilles bourgeoises qui viennent autant pour se plaindre de leurs rhumatismes que pour prendre le thé dans le magasin qu'elles affectionnaient tant. Ce qu'elles ne savent pas (et heureusement sinon leurs rides profondes trembleraient de peur) c'est que leur guérisseuse les écoute d'une oreille distraite, planifiant ce qu'elle fera lorsqu'elles seront enfin parties. Cela ferait bientôt 4 mois qu'elle n'avait plus de cobaye. 4 mois. C'est le temps qu'il faut aux hommes pour oublier et ne pas faire de liens entre les événements. Toutes les deux semaines, Lucille soigne gratuitement ceux qui n'ont pas de quoi voir un médecin. Ça lui permet de voir pas mal de cas différents, bien que la plupart des maux soient dû à de la sous-nutrition. Mais, tous les 4 mois environ, elle invite le plus mal en point à rester un petit temps chez elle, pour l'exprimer ainsi.
Si vous pensez qu'elle a des soucis avec sa conscience, vous vous mettez le doigt dans l’œil. C'est avec froideur et professionnalisme qu'elle aborde la question. Toute cause implique des sacrifices, des victimes. La plupart n'ont perdu que 2-3 jours de vie mais qui n'a pas gâché plusieurs journées à ne rien faire au cours de sa vie ? Là, ils avaient l'occasion de participer à la recherche d'une chose qui permettrait d'aider toute une catégorie d'individus.

La mort récente d'Alguior fit doubler le nombre de ses patients ainsi que la complexité des soins à prodiguer, l'obligeant à partir une fois semaine afin d'apprendre davantage. Ce qui n'était pas pour lui déplaire. Elle lisait lentement et certains livres n'étaient pas assez explicites. En parlant de livre, elle avait conservé soigneusement celui des créatures marines, caressant le rêve d'aller chercher le poisson miracle, le poisson des astres. Elle n'irait probablement jamais en mer. Qui voudrait d'une créature risquant de dévorer toute une partie de l'équipage ?

Le poisson des astres....

Lucille Kaliandhe Bande-longue-pr-sentation-3c31f99

Points de compétences :

Compétences communes :
Déchiffrage : 1
Premiers soins : 2
Traitements médicamenteux : 1

Compétence raciale:
Contrôle du corps : 1


Dernière édition par Lucille le Mer 19 Fév - 22:41, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Lucille Kaliandhe   Lucille Kaliandhe Icon_minitimeLun 17 Fév - 21:31

Bienvenue à toi Lucille ^^

Haaa une louve médecin, voilà un concept assez innovant.
Avec aussi peu de point dans ton contrôle de loup garou, on doit dire que tes nuits doivent être agitées!
Petite précision pour tes prochains rp : Il y a très peu de chance que tu arrives à "assommer" le loup les nuits de pleine lune, je ne vois pas d'inconvénient pour les autres nuits vu les doses que tu utilises.

Mmmh par contre apprendre la médecine dans les livres, c'est vrai que tu peux apprendre les bases, surtout si tu as des "volontaires" pour t'essayer, mais il serait bien d'un point de vu rp que tu coopères avec au moins un autre médecin si tu veux mettre des points plus avancés par la suite.
La médecine ça s'apprend dans les livres, mais il y a aussi une grande partie de pratique qui ne s'apprend qu'avec un professeur ^^
Et puis ca te donnera une piste de rp (on ne manque pas de médecin en ce moment XD)

En tout cas c'est une belle fiche bien construite que je suis ravie de valider!

Bon jeu parmi nous et laissons place à tes aventures!
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Lucille

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MessageSujet: Re: Lucille Kaliandhe   Lucille Kaliandhe Icon_minitimeMer 19 Fév - 22:48

Merci beaucoup!

Je viens d'éditer ma fiche (changement d'histoire)  Lucille Kaliandhe 3844370425 
Je pense qu'elle reste cohérente et ne change pas le personnage au final, mais bon, avec cette longueur, ça se peut que je me sois un peu emmacralée. Encore merci d'avoir accepté que je la change!

(En effet, je viens de voir que nous sommes nombreux en médecine XD Aaaaaaaaaaaaaah les mystères de l'être humain, ça ne peut qu'attirer et il reste beaucoup à découvrir!)
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MessageSujet: Re: Lucille Kaliandhe   Lucille Kaliandhe Icon_minitime

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